Le cannabidiol, également connu sous le nom de CBD, a été étudié pour interagir avec les neurotransmetteurs de la sérotonine et du glutamate dans le cerveau qui équilibrent la récompense de la drogue et la vulnérabilité au stress et l’anxiété relative au comportement de dépendance. Compte tenu de ses propriétés naturelles non toxiques, le CBD présente un profil de sécurité élevé et est généralement bien toléré à la dose quotidienne dans la phase de sevrage de la dépendance et dans la gestion et la prévention des rechutes.
Selon le service de Livraison express d’huile et Fleur de CBD a Lyon, Frenchy Freeze, les dépendances pertinentes comprennent :
La dépendance à la nicotine
Le succès du CBD organique en tant que traitement de la dépendance à la nicotine a prouvé une réduction de 40 % du nombre de cigarettes fumées au cours de l’essai d’une semaine qui a inclus deux douzaines de participants lorsqu’ils ont complété leur envie de fumer par des doses de CBD.
La dépendance à l’alcool
Les facteurs qui contribuent aux facteurs comportementaux et cognitifs qui persistent la dépendance elle-même. Bien que la méthode d’application ait été transdermique et intrapéritonéale, la faisabilité biologique reste cohérente avec le CBD étant une thérapie potentielle à considérer dans le cadre des nombreuses phases de l’addiction à l’alcool, y compris les dommages cognitifs et physiologiques.
Dépendance aux opiacés
Le CBD de chanvre a été présenté comme inhibant non seulement le comportement de recherche de drogue avec un potentiel d’abus limité, mais aussi comme offrant un soulagement grâce à ses actions anxiolytiques sur le système nerveux central. Comme tout cycle de dépendance comporte de nombreuses variables à traiter, l’examen préclinique du cannabidiol montre une action prometteuse en tant qu’alternative non intoxicante pour ralentir et potentiellement inverser la crise des opiacés en Amérique du Nord.
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